Je suis psychologue depuis 1998. J’ai rapidement créé mon activité d’accompagnement psychothérapique, en utilisant mes compétences en hypnose et sophrologie, en thérapie familiale et systémique, en passation de test du QI pour les enfants (WPPSI, WISC) et les adultes (WAIS).

Parallèlement à mon cabinet, j’ai dirigé plusieurs recherches scientifiques et écrit plusieurs livres sur l’hypnose (et la douleur chronique), la philocognition, l’intelligence et la performance qui sont devenus mes sujets d’intérêt et d’accompagnement en thérapie.

Aujourd’hui, mes consultations sont en lien direct avec ces sujets

Psychologue

Consultations de 45’ à 1h, exclusivement par téléphone.

Accompagnements individuels

Pour qui ? Quel format ?

Entrepreneurs
Étudiants
Sportifs
Lycéens
Solopreneurs
Mamans
Papas
Toute personne intéressée
Entrepreneurs
Étudiants
Sportifs
Lycéens
Solopreneurs
Mamans
Papas
Toute personne intéressée
Supervision de psychologues
Supervision de préparateurs mentaux
Supervision de coachs

Accompagnements professionnels

C’est vrai, je suis reconnue principalement pour mes travaux sur la philocognition, l’intelligence et la performance. Mes supervisions avec les professionnels vont toujours dans ce sens. Mais les personnes qui me contactent en tant que patients ne formulent pas forcément une demande explicite pour s’améliorer dans ces domaines. De la lycéenne qui souhaite trouver sa confiance en elle pour préparer ses oraux, jusqu’au chef d’entreprise co-fondateur qui veut redéfinir la place qu’il veut y occuper et son identité professionnelle, en passant par l’avocat qui a besoin de gérer une problématique urgente de conflit avec un associé, la maman qui aimerait mieux comprendre et communiquer avec son enfant (philocognitif ou non), la personne en plein divorce ou encore la triathlète qui souhaite se préparer pour le Jeux Olympiques, toutes les problématiques mènent à une prise en charge (si je le juge nécessaire) en vue de l’augmentation de soi.

Quelle approche ?
Quelle philosophie ?

Consultations exclusivement par téléphone.

Je suis une systémicienne Embelliste.

Aujourd’hui, l’approche humaniste domine les cabinets de psychologie. Elle repose sur une idée séduisante : si l’on accueille la personne avec suffisamment d’écoute, de chaleur, et de non-jugement, alors elle finira par trouver en elle ses propres solutions. L’approche humaniste ne tranche pas, n’oriente pas, ne se positionne pas, dans le but de faire laisser émerger “ce qui doit émerger” chez le patient. Son boulot, c’est de proposer des analyses de la réalité du patient, analyses généralement fondées sur une croyance implicite selon laquelle il suffirait de creuser dans ses souffrances et de rester en permanence au contact avec son prétendu « être profond » pour aller mieux, sans jamais transformer les structures profondes, sans orientation, et surtout sans viser la grandeur.

Mais la vérité, c’est que cela ne fonctionne pas.
Ou si peu.
Les gens sortent des séances soulagés, mais ils ne vont pas mieux. Leur vie ne change pas. Les schémas reviennent. L’entourage reste le même. Les conflits intérieurs s’apaisent sur le moment, puis resurgissent. L’humanisme donne l’illusion du mieux, mais pas la structure de l’après.

J’ai donc construit une autre voie : l’embellisme.
Il repose sur une idée simple : élever l’individu.
L’écouter, oui, mais pas indéfiniment. Pas non plus l’aider à « s’accepter tel qu’il est ». Pas lui apprendre à tolérer un environnement médiocre. Mais le rendre plus clair, plus fort, plus aligné. Lui redonner sa capacité d’action, de lucidité, et de grandeur. L’Embelliste ne caresse pas l’ego : il organise l’ascension.

C’est une posture profondément existentialiste : tu es responsable de ton propre dépassement. 

Et radicalement stoïcienne : tu apprends à devenir solide, au lieu d’espérer que le monde change pour t’épargner. C’est la raison pour laquelle je m’attelle au quotidien à créer avec tous mes patients, quelle que soit leur problématique, un chemin d’intelligence et d’excellence, en vue de la performance.

À cela s’ajoute ma posture systémique.
Un psychologue humaniste va écouter avant tout ce que l’individu ressens

De mon côté, je cherche à comprendre comment ça tient debout

J’analyse toute la structure : les liens entre l’hygiène de vie, les pensées, les émotions, les décisions, les dynamiques relationnelles, et les règles implicites qui verrouillent le tout.

Car, dans l’immense majorité des cas, ce qui souffre, ce n’est pas l’individu :
c’est le système dans lequel il est empêtré.
Et c’est ce système qu’il me faut décoder, restructurer, augmenter.

Je ne sais pas si on peut vraiment les appeler des « outils » supplémentaires. En réalité, les neurosciences et l’hypnose sont totalement intégrés à mes prises en charge et je ne les considère pas comme des éléments externes que je convoque à l’occasion.

Ma pratique peut être qualifiée de « fonctionnelle », dans le sens où elle explore toutes les dimensions de la vie de la personne pour servir une prise en charge embelliste.

Comment ? Quels outils ?